Livre 4, Dorian
Apprendre à respirer, s’autoriser à aimer.
Bousculer les chaînes et les habitudes qui empêchent d’avancer. Sortir la tête de l’eau, pour enfin respirer, et discerner, comprendre qui l’on est. Repousser les obstacles du passé, marcher à deux sur le même chemin, s’entraider, se dévoiler. Aimer, à ne plus pouvoir s’arrêter.
Nous arrivons à la fin du bal, et la dernière danse est pour
Dorian.
Dorian, nous l’avons découvert au fil des récits précédents.
C’est un homme généreux, dévoué à ceux qu’il aime, un bourreau
de travail.
Les autres sont toujours sa priorité, il est la gentillesse
incarnée.
Comme nous le savons déjà, Dorian ne s’arrête jamais de
travailler.
Alors, après avoir récupéré Valentin au camping, c’est tout
naturellement qu’il l’installe avec lui, dans sa chambre sur son lieu de
travail.
Protecteur comme toujours avec Valentin, Dorian va faire l’impossible
afin de lui consacrer du temps et être à la hauteur de son rôle.
Nous apprenons ici, l’origine de leur rencontre et de ce
lien si spécial et indéfectible qui les uni.
Mais voila, du temps il n’en a pas.
Entre les clients et le personnel de l’hôtel qu’il dirige à
gérer,Truc, et sa famille ô combien envahissante et détestable, il se sent
écartelé et a du mal à trouver du temps pour Valentin.
Valentin pour sa part, du temps il n’en manque pas. Il va le
mettre à profit pour réfléchir à lui, à sa vie … et à Dorian.
Il aime Dorian, il adore Dorian, c’est son Doudou à lui. Et
Valentin fulmine de voir la famille de Dorian, pour laquelle se dernier se
sacrifie, l’exploiter et abuser de lui sans vergogne et encore moins de
considération.
La question est : Dorian va-t-il un jour revoir le sens
de ses priorité ? Va-t-il penser enfin à lui et prendre le temps de vivre ?
C’est le cœur lourd que je quitte ces quatre copains qui m’ont
apporté tant de moments de joie et d’émotion.
Il y a tellement d’amour sous toutes ses formes dans ces
récits, qu’on ne peut rester insensible à ces garçons hors du commun.
Dans ce dernier tome, j’ai souffert avec Valentin, et espéré
avec Dorian.
J’ai ris avec les échanges sur Sweet Summer, et j’ai
vociféré contre la mère et l’abruti fini que sert de frère à Dorian.
Franchement, Sweet Summer, c’est à lire sans modération !
Tit bonus, depuis qu'on en attend parler des fossettes de Marlone !!!
Méga
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